Monsieur S. a confié son dossier au cabinet en 2007, après avoir subi un accident de service alors qu’il travaillait comme rippeur pour le compte d’une collectivité.
Il aura fallu 8 années de combats acharnés, d’abord devant le Tribunal administratif pour obtenir la mise à la retraite d’office consécutive à cet accident, puis devant le Tribunal de Grande instance pour obtenir l’indemnisation des préjudices corporels importants subis par la victime.
Initialement, l’assureur proposait à notre client moins de 30.000 euros.
Il devra multiplier le montant de son chèque par plus de 10 après que la juridiction l’a condamné à indemniser l’ensemble des préjudices, notamment le préjudice économique, de la victime qui ne peut plus travailler aujourd’hui.