Un « acquittement » correctionnel malgré l’ADN

Après des années d’instruction et de lutte judiciaire, Maître Lee TAKHEDMIT a obtenu que le tribunal correctionnel de POITIERS prononce la relaxe concernant le dernier fait de braquages qui restait reproché à ce prévenu qui avait toujours nié avoir commis l’un quelconque des trois braquages qui lui étaient initialement imputés.

Voir ici l’article de la Nouvelle République 86 du 7 octobre 2017